Depuis avant hier, mes larmes coulent..., ce matin cependant, le sourire est revenu à mes lèvres... Ils m’ont fait pleurer, c’est vrai, ils m’ont fait perdre le sourire, c’est vrai, mais..., ils ont oublié ceci BURKINABÉ...!
Oui, je suis issu de ce peuple modeste, calme, effacé, qui semble tellement fragile et craintif aux premiers abords MAIS..., qui se révèle être le plus impétueux des étalons, le plus impitoyable des tigres, le plus indomptable des lions, le plus majestueux des éléphants. Oui, toute l’Afrique le sait, le Burkinabè n’attaque jamais le premier, mais, ne l’oblige pas a se defendre car alors seul sa mort peut l’arrêter...
VOUS, oui VOUS, pseudo-djihadistes, oui, pseudo car le PROPHÈTE MOHAMED est un homme de paix et qu’il ne cautionne en rien ce que vous faites..., vous avez fait une erreur..., vous avez fait l’erreur de toucher à ce peuple, ce peuple de paix, de tolérance et d’amour..., vous avez fait l’erreur d’oter des vies humaines sur cette terre.
Sachez juste ceci, ici au BURKINA toute personne qui y vient n’est plus un étranger, il devient un BURKINABÉ, il devient un frère, alors sachez que toutes les personnes dont vous avez ôté la vie sont BURKINABÉ, sachez que tous les blessés sont BURKINABÉ et...,
TREMBLEZ..., oui tremblez car loin de semer la graine de discorde entre blancs et noirs, musulmans, chretiens ou animistes, vous nous avez réunis, vous nous avez désormais donné un objectif commun..., CELUI DE VOUS DÉTRUIRE
Vous avez réveillé la bête qui sommeille en nous en faisant couler le sang de pauvres innocents... EH BIEN RECOLTEZ DÉSORMAIS, nous ne vous traquerons pas uniquement au BURKINA, nous vous traquerons partout en AFRIQUE, oui partout car nous sommes un peuple déterminé qui lorsqu’il est acculé n’a qu’un slogan en tête: LA PATRIE OU LA MORT...,
Alors je souris à nouveau, je souris car vous êtes finis, je souris car autant que vous, nous sommes prêts au sacrifice, mais contrairement à vous nous faisons le vrai DJIHAD, celui de défendre le nom du DIEU tout puissant que vous bafouez.
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